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Notice d'autorité
CAMAR · Collectivité · 1921

L'histoire de cette paroisse a commencé le 16 mai 1921. La partie est de la ville de Magog comptait un nombre de familles sans cesse croissant. Deux cents chefs de familles adressèrent une requête pour obtenir une paroisse; Mgr LaRocque érigea canoniquement cette paroisse le 15 septembre 1921 et la plaça sous le patronage de sainte Marguerite-Marie. Le 2 octobre 1921, l'abbé Hector Courtemanche célébra la première messe dominicale à la salle du Conseil de Ville. Une semaine plus tard, les marguilliers acquéraient un terrain et une maison pour ériger une église et loger le curé. Le 25 décembre 1921, les fidèles célébraient Noël dans leur nouveau temple. Du temps du curé Origène Vel, le 10 novembre 1946, on débuta une campagne pour bâtir une nouvelle église. Le 17 septembre 1950, Mgr Philippe Desranleau bénit ce nouveau temple. Depuis le 19 août 1951, il y a une desserte, Notre-Dame-du-Divin-Amour, située à l'extrémité sud du Petit Lac Magog. Cette paroisse a perdu deux curés de façon tragique, au cours de sa brève histoire : le curé Courtemanche, le 3 août 1922, d'une méningite cérébrale, et le curé Denis Lapointe, le 10 février 1985, par noyade au Mexique. Le 31 décembre 2007, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse et rattaché son territoire à Saint-Jean-Bosco de Magog.

CAMAR · Collectivité · 1956 - 2014

Cette paroisse est située sur la «rive sud» de la rivière Saint-François, à East Angus. Les gens de ce coin, pilotés par monsieur Martin Maltais, demandèrent à Mgr Georges Cabana l'ouverture d'une nouvelle paroisse. Ils évoquaient l'éloignement de l'église Saint-Louis-de-France et un développement domiciliaire possible. Au début, l'abbé Jean Mercier allait, à l'occasion, dire la messe dans la petite école en bois, desservie par les Soeurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. Le 17 octobre 1956 marque la fondation de la desserte. Mgr Georges Cabana décréta l'érection canonique de la paroisse le 5 mai 1957; il lui donna le vocable de Notre-Dame-de-la-Garde. La construction de l'église et du presbytère, dirigée par l'abbé Raymond Désilets, fut terminée pour Noël 1958. Le 1er septembre 2014, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Saint-François-de-Laval d'East Angus.

CAMAR · Collectivité · 1966 - 1974

La paroisse Saint-Dominique-Savio possède l'histoire la plus courte du diocèse de Sherbrooke. En 1964, l'église Saint-Aimé d'Asbestos est démolie suite à la décision da la Compagnie John's Manville d'agrandir sa mine. La population est alors répartie en deux nouvelles paroisses : Saint-Aimé et Saint-Dominique-Savio. L'érection canonique de cette dernière coïncide avec la nomination du premier et seul curé de la paroisse le 19 août 1966, le chanoine Damien Lessard. L'église est construite en 1965 et consacrée le 7 octobre 1967 par Mgr Georges Cabana. Quelques années plus tard, l'affaissement continuel du terrain près de la mine nécessite la démolition de l'église. La paroisse est alors dissoute le 30 septembre 1974 et sa population annexée à Notre-Dame-de-Toutes-Joies d'Asbestos. Lorsque cette dernière a été supprimée le 31 janvier 2001, son territoire a été rattaché à Saint-Isaac-Jogues d'Asbestos. Sources : Fonds Fabrique Saint-Dominique-Savio d'Asbestos.

CAMAR · Collectivité · 1898

Le 25 avril 1887, monsieur Arthur Gignac, curé de Stoke et desservant à Ascot Corner envoie à Mgr Racine les plans qu'il envisage pour la future paroisse d'Ascot Corner. Avant que la corporation épiscopale de Sherbrooke achète le terrain actuel de l'église en date du 16 avril 1894, il y avait déjà une école anglaise et un cimetière protestant à l'entrée du village. L'école sera cédée à la Commission scolaire catholique en 1901. C'est le nouvel évêque de Sherbrooke, Mgr Paul LaRocque, qui autorise la construction d'une église et s'engage, par le fait même, à fournir un prêtre résident. La paroisse est donc érigée canoniquement le 5 avril 1898; elle constitue la première fondation de Mgr LaRocque. Aussi l'église est-elle appelée Saint-Stanislas de Kostka en son honneur. Source : informations puisées dans l'album du 100e anniversaire d'Ascot Corner.

Fabrique Saint-Camille de Saint-Camille
CAMAR · Collectivité · 1867 - 2012

Une première chapelle est construite en 1853 pour la nouvelle mission de Saint-Camille desservie par le curé de Wotton. L'évêque des Trois-Rivières, Mgr Thomas Cooke, décrète l'érection canonique de la paroisse le 21 mars 1867. Saint-Camille sera prise en charge par le diocèse de Sherbrooke au moment de la fondation de ce dernier en 1874. Son premier curé résident, l'abbé François-Venant Charest, y fait construire un presbytère dès son arrivée en 1869. Un décret daté de 1873 annexe une partie du canton de Wotton à Saint-Camille. Vu l'accroissement de la population, on doit bâtir une nouvelle église commencée sous l'abbé Charest en 1879 et terminée deux ans plus tard par son successeur, l'abbé Joseph-André Lefebvre. Il y eut par la suite plusieurs réparations et réfections de l'église, dont la principale date de 1942 sous l'abbé Louis-Philippe Camirand. Avec l'émigration de la population de cette région, la baisse de la pratique religieuse et la diminution constante du nombre de prêtres dans le diocèse, Mgr l'Archevêque prend la décision de jumeler les paroisses Saint-Camille et Saint-Joseph de Ham-Sud en 1969. Le curé a résidence à Saint-Camille jusqu'à la vente du presbytère en 1997. Depuis cette date, la paroisse est administrée par le curé de Wottonville. Sources : fonds Fabrique Saint-Camille de Saint-Camille et autres documents conservés à chancellerie. Le 1er janvier 2012, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Cœur-Immaculé-de-Marie d'Asbestos.

Fabrique Saint-Gabriel de Stratford
CAMAR · Collectivité · 1857 - 2015

L'année 1848 marque le début de la mission de Stratford. L'abbé Luc Trahan de Sherbrooke est le premier missionnaire auprès des 134 habitants du canton. En 1851, grâce à monsieur Olivier Arcand, agent des terres, on érigea une première chapelle, à environ deux milles du village actuel. En septembre 1857, Mgr Thomas Cooke, évêque de Trois-Rivières, nomma un premier curé permanent : l'abbé Alexandre Bouchard. En 1873, on bâtit la deuxième église sur le même emplacement. En 1900, elle est réaménagée sur le site actuel, au centre du village. Le 8 décembre 1942, un terrible incendie détruit le temple. On décida de bâtir immédiatement une nouvelle église et un presbytère. Mgr Philippe Desranleau bénit cette église le 19 août 1944. Sur le territoire de la paroisse, nous retrouvons, depuis 1957, le Camp Bel'Air, dirigé par les Frères du Sacré-Coeur. En 1963, les Pères Clarétains achetèrent le terrain de l'abbé Arthur Tétrault, au lac Elgin. Depuis ce temps, ils dirigent le Camp Claret et assurent le service religieux aux villégiateurs. Le 1er janvier 2015, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Saint-André-Bessette de Disraeli.

Fabrique Saint-Romain de Saint-Romain
CAMAR · Collectivité · 1865

Les débuts de la paroisse remontent au printemps de 1844. Joseph et Pierre Dion y arrivèrent comme colons; d'autres ne tardèrent pas à les rejoindre. C'est l'abbé Édouard Bois, curé de Saint-François de Beauce, qui fut le premier missionnaire. En 1852, se fit la division des diocèses de Québec et de Trois-Rivières par une ligne qui sépara Saint-Romain de Lambton. Jusqu'à ce moment-là, les colons de Saint-Romain étaient desservis par les prêtres de Lambton. En 1856, la paroisse de Saint-Romain est définitivement détachée de Lambton; le curé de Wotton, l'abbé Georges-Jacques Duhault est chargé de cette desserte, pour une année. En 1857, Mgr Thomas Cooke, évêque de Trois-Rivières, nomme l'abbé Alexandre Bouchard, curé de Stratford, à titre de desservant à Saint-Romain. Monsieur Bouchard fit bâtir la première chapelle, où on célébra une première messe, le 24 décembre de cette année 1857. Le 28 septembre 1865, l'abbé François-Xavier Vanasse devint le premier curé. Mgr LaFlèche, évêque de Trois-Rivières, donna l'érection canonique à cette paroisse, le 12 février 1868, et la confia au patronage de saint Romain. Durant l'année 1868, on construisit une nouvelle église avec le bois de la première chapelle. Pendant plusieurs années, l'église paroissiale fut considérée comme un véritable lieu de pèlerinage.

Fabrique Marie-Reine de Sherbrooke
CAMAR · Collectivité · 1956

Ces brèves notes présentent la cinquième paroisse détachée de Saint-Jean-Baptiste de Sherbrooke. Elle fut d'abord desservie par le curé de Saint-Jean-Baptiste, Mgr Lucien L'Heureux, et mise sous la protection de Saint-Pie X. Mgr Georges Cabana décréta l'érection canonique le 2 août 1956; quatre jours plus tard, il nommait l'abbé François Casey premier curé. Celui-ci, après la construction de l'église, aménagea les transepts en bureau de la cure et résidence du curé. Son successeur, l'abbé Henri-Paul Bureau, ne put suffire à la tâche. C'est le chanoine Lucien Boulé qui réussit à donner un nouvel élan à cette paroisse en s'employant à retisser des liens entre les paroissiens. Quelques mois après l'arrivée de ce dernier, un incendie dévasta l'église (1969). L'année suivante, un comité dont faisait partie monsieur Marc Bureau, maire de Sherbrooke et franc-tenancier de la paroisse, organisa un radiothon dans le but de recueillir des fonds pour réaménager le sous-sol de l'église; celui-ci servait encore de lieu de culte en 1993. Des plans avaient été conçus, sous le curé Bureau, pour ériger un presbytère; le curé Boulé finalisa cette construction.

CAMAR · Collectivité · 1941-1995

Les missionnaires commencent dès 1888 à visiter Sainte-Praxède, et ce, durant une vingtaine d'années. Les gens de cette mission sont alors répartis entre le canton de Wolfe du diocèse de Sherbrooke et le canton de Price du diocèse de Québec. En 1940, une requête des habitants de cette région demande à nouveau une organisation religieuse. Suite à l'annexion du canton de Price au diocèse de Sherbrooke par le Pape et les autorités civiles, Mgr Philippe Desranleau décrète l'érection canonique de la paroisse le 12 septembre 1941 en apportant comme motifs l'augmentation du nombre de familles et leur éloignement des centres religieux existants. Sainte-Praxède connaît une situation financière précaire continuelle. La diminution de sa population au fil des années amène les autorités religieuses à fermer le presbytère en 1984, et dissoudre finalement la paroisse le 21 novembre 1995. L'ensemble de son territoire est alors rattaché à Sainte-Luce de Disraéli. Source : fonds Fabrique Sainte-Praxède de Sainte-Praxède.

CAMAR · Collectivité · 1892

Entre 1870 et 1880, des colons canadiens-français s'établissent dans le sud du Canton de Marston, aujourd'hui Val-Racine. Le 21 octobre 1882, trente et un d'entre eux présentent une requête à Mgr Racine pour obtenir un prêtre résident : ils se disent trop éloignés de Piopolis. Dès le début de 1883, le vicaire de Piopolis, l'abbé Denis Bellemare, apporte les services religieux aux gens de Val-Racine; il le fera jusqu'en 1892. Le 1er juillet 1883, Mgr Racine autorise la construction d'une première chapelle; il donne le nom de saint Léon à la future paroisse, en l'honneur du Pape Léon XIII et de son hôte, monsieur Léon Giguère. Dès 1890, on bâtit une deuxième chapelle; la précédente sera le premier presbytère. En 1892, arrive le premier curé résident, l'abbé Jean-Daniel Bernier. Celui-ci fait ériger un nouveau presbytère en 1896. Le 22 décembre 1899, Mgr Paul LaRocque décrète l'érection canonique de la paroisse. Le 30 juillet 1900, on donne à ce coin du Canton de Marston le nom de Val-Racine, en souvenir de Mgr Antoine Racine. Dès 1912, le curé Louis-Honoré Nicol fait bâtir une chapelle au sommet du Mont Saint-Joseph; au mois d'août 1946, le curé René Lefebvre donne le vrai coup d'envoi à ce lieu de pèlerinage diocésain. Le 22 mars 1955, un incendie détruit le presbytère; le curé Roland Mainguy le fait reconstruire. De 1985 à 2001, cette paroisse faisait partie de la Zone Saint-Joseph; en 2001, elle a été dissoute et la paroisse Saint-Joseph-des-Monts de La Patrie a été fondée.

CAMAR · Collectivité · 1921

En 1920, on appelait le quartier ouest de Sherbrooke, le «Petit Canada», il s'étendait jusqu'à la rue Denault; plus loin, c'était Collinsville. Une seule église desservait ce secteur : l'Immaculée-Conception-de-la-Vierge-Marie. On songea donc à former une autre paroisse. Du 23 avril au 14 juillet 1921, on fit des démarches pour la fondation de cette nouvelle paroisse. Mgr Paul LaRocque lui donna son érection canonique le 5 septembre 1921, sous le vocable de sainte Jeanne d'Arc. Le premier curé, l'abbé Olivier-Zacharie Letendre, célébra d'abord la messe dans la salle d'inspection de l'usine Canadian Cotton Mills, rue Pacifique. Puis, on érigea une chapelle temporaire, rue Denault; la première messe y fut célébrée le 6 janvier 1922. Cette chapelle fut agrandie en 1935. Le 11 février 1940, on acheta la propriété de madame Andrew Sangster et les lots adjacents pour y installer l'église et le presbytère actuels. La première messe, dans l'église actuelle, fut célébrée le 13 mars 1941. Cette église fut consacrée les 14 et 15 septembre 1956. Le 24 juillet 1962, on agrandit la sacristie pour y édifier une chapelle et des salles pour la paroisse; ces locaux furent rattachés au nouveau centre paroissial Sainte-Jeanne d'Arc : un rêve enfin réalisé de Mgr Albert Gravel, ancien curé de 1945 à 1957, (aujourd'hui Centre Communautaire de Loisirs Sherbrooke inc.). En 1995, la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire est supprimée et son territoire rattaché à celui de la paroisse Sainte-Jeanne-d'Arc. Finalement, le décret de suppression de la paroisse et de rattachement du territoire à la paroisse Bienheureuse-Marie-Léonie-Paradis est signé par Mgr Cyr le 25 avril 2016.

Fabrique Saint-Marc de Coaticook
CAMAR · Collectivité · 1916

C'est une paroisse détachée de celle de Saint-Edmond de Coaticook. À l'été de 1916, les paroissiens de la partie nord de la ville, fatigués de monter la «côte du nord» pour aller à la messe à Saint-Edmond, réclament une mission chez eux. Mgr Paul LaRocque autorise le curé Joseph-Ernest Simard, de Saint-Edmond, à acheter un terrain pour construire l'église actuelle. La construction débute le 1er septembre 1916; les paroissiens participent à la première messe dans le nouveau temple le 25 décembre 1916. Incidemment, la cloche de cette église est un souvenir de la première chapelle bâtie à Coaticook par l'abbé Jean-Baptiste Chartier. Le premier curé arrive à Saint-Marc en juillet 1917; l'érection canonique est décrétée le 28 février 1920. Le curé Bonin, n'aimant pas les «Soeurs voyageuses», requièrent des religieuses résidentes pour s'occuper de l'école paroissiale. À l'automne de 1922, quatre Soeurs de la Présentation de Marie s'établissent à Saint-Marc, à l'école même. Le 30 juin 1998, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse et rattaché son territoire à Saint-Edmond de Coaticook.

Fabrique Saint-Philémon de Stoke
CAMAR · Collectivité · 1893

L'ouverture réelle du canton de Stoke date de 1856, avec l'arrivée de Jacques Guillemette. Il planta sa tente près de la rivière Windsor, à cinq milles dans le bois. Le suivirent les Biron, Lemire, Côté, Houle et autres. Le 2 février 1868, l'abbé Alfred-Élie Dufresne célébra la première messe dans la nouvelle école de mademoiselle Aurélie Ducharme. L'abbé Jean-Baptiste Ponton, curé de Bromptonville, fit ériger une première chapelle en 1871. C'est sous le signe de la coopération que les habitants défrichèrent la forêt et rassemblèrent les matériaux pour livrer la bâtisse, le 1er novembre. Le 14 décembre 1874, l'abbé Joseph Aubin, du diocèse de Montréal, arriva à Stoke, comme premier curé résident. Le 2 novembre 1890, Mgr LaRocque décréta l'érection canonique de cette paroisse. L'église actuelle fut terminée le 10 août 1893. En 1971, on érigea une salle municipale à Stoke; elle est d'une grande utilité pour les gens de la paroisse. La population s'est considérablement accrue depuis la fondation du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke, situé sur le territoire de la paroisse. Le 1er janvier 2010, un décret de Mgr Gaumond supprime la paroisse Saint-Philémon et rattache son territoire à la paroisse Bon-Pasteur de Sherbrooke.

CAMAR · Collectivité · 1919

Dès le 23 février 1919, on ouvrait les registres de cette paroisse. Le 12 mai 1919, le curé Louis-Arthur Côté, de Martinville, inaugura la mission Saint-Athanase; il célébra la messe dans une maison habitée maintenant par Ernest Isabelle. Le 10 octobre 1919, Mgr Paul LaRocque érigea canoniquement la paroisse, lui donnant le vocable de Notre-Dame-de-la-Paix; il nomma, ce jour même, le premier curé résident, l'abbé Joseph Têtu. Le 5 mai 1920, la Fabrique se porta acquéreur de l'église méthodiste, construite en 1887. En 1921, on érigea un presbytère; les deux édifices furent bénits le 14 septembre 1922. En 1939, Mgr Philippe Desranleau invita les paroissiens de Johnville à promouvoir la dévotion à Notre-Dame-de-la-Paix; la paroisse devint alors officiellement un sanctuaire; la fête patronale fut fixée au 8 septembre. En 1942-1943, le curé Georges Bilodeau fit aménager un kiosque dans le but de célébrer la messe à l'extérieur. En 1952, on érigea une salle paroissiale pour les grandes assemblées (exemple : pèlerinages). En 1973, l'abbé Ernest Génois fit rénover l'église de fond en comble. À l'été de 1986, l'abbé Donald Thompson fit vendre le presbytère. Le 17 mai 1987, naissait le projet d'un centre paroissial; il fut terminé le 25 janvier 1988 et servit dès lors de bureau de la Cure. Depuis août 1991, cette paroisse fait partie d'une Unité Pastorale avec les paroisses de Compton, Waterville et Martinville. Depuis novembre 1992, l'Unité Pastorale porte dorénavant le nom de : l'Unité Notre-Dame. Le 15 avril 2010, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Notre-Dame-de-l'Unité de Compton.

Fabrique Sainte-Luce de Disraeli
CAMAR · Collectivité · 1889

Disraeli accueille un premier missionnaire, Pierre Beauregard-Champagne en 1878. Toutefois, ce n'est que le 26 octobre 1889 que la paroisse Sainte-Luce sera érigée canoniquement. La construction du presbytère a lieu l'année suivante, soit en 1890, et le parachèvement de l'église se réalise quelques années plus tard, soit en 1896 et 1897. En 1953, une partie des paroisses Saint-Fortunat et Sainte-Luce sera annexée à la paroisse Saint-Jacques-le-Majeur. De même, entre 1964 et 1965, une partie du territoire de la paroisse Saint-Charles-Borromée de Garthby sera annexée à celle de Sainte-Luce. Cette paroisse, aussi connue sous les noms de Sainte-Luce de Stratford et Sainte-Luce de Garthby, comprend en 2001 une population catholique de 5142 âmes. Sources : Informations puisées dans les notes historiques de la paroisse Sainte-Luce de Disraëli et dans le Guide des archives paroissiales de l'archidiocèse de Sherbrooke. Le 1er janvier 2015, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Saint-André-Bessette de Disraeli.

Fabrique Marie-Médiatrice de Sherbrooke
CAMAR · Collectivité · 1961

La paroisse Marie-Médiatrice a été érigée canoniquement le 11 mai 1961. Le curé Hervé Girard a assuré la première célébration eucharistique dans la nouvelle paroisse qui devait à l'origine s'appeler Marguerite-Bourgeois. La construction de l'église s'échelonne sur deux ans, soit de 1962 à 1963. Modeste au début, l'église s'est développée au fil de l'essor pris par la nouvelle paroisse. En 1997, l'abbé Hervé Girard accroche sa soutane après plus de 36 ans au sein de la paroisse. C'est l'abbé Guy Labrecque qui assure la relève. Sources : informations puisées dans le fonds Fabrique Marie-Médiatrice de Sherbrooke et dans le supplément à l'annuaire diocésain (2000). Le 1er janvier 2012, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Marguerite-Bourgeoys de Sherbrooke.

Fabrique Sainte-Marie de Maricourt
CAMAR · Collectivité · 1892

Le 11 août 1888, une cinquante de familles d'Irlandais catholiques, entourés d'une majorité de protestants, envoient une requêtre à Mgr Antoine Racine; ils veulent une paroisse dans le nord du Canton d'Ely. À la fin de l'année 1888, James Morrissey, de Richmond, donne à la Corporation épiscopale de Sherbrooke, un terrain pour bâtir une chapelle nécessaire à la nouvelle mission. Durant l'année 1889, on bâtit cette église, bénite le 14 novembre par l'abbé Louis-Théophile Descarries, premier missionnaire de Maricourt. Le 27 octobre 1892, Mgr Racine nomme l'abbé Louis-Honoré Nicol comme premier curé résident. Le 19 septembre 1901, les syndics obtiennent, de Mgr Paul LaRocque, la permission de déménager l'église sur son site actuel. Le 24 juin 1906, la Corporation épiscopale de Sherbrooke transfère la propriété des terrains à la paroisse Sainte-Marie d'Ely. De 1913 à 1970, les curés de cette paroisse s'occupent de la desserte Saint-Malachie de Kingsbury. La paroisse Sainte-Marie est actuellement desservie par le curé de Saint-Théophile de Racine. Le 1er mars 2011, Mgr Gaumond a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Famille de Valcourt.

Ross, W. Gillies
Personne · 1931-2019

William Gillies Ross, most commonly known as Gil Ross, was born in 1931. He married Anne MacIver and together they had four children: Deborah, Lucy, Peter, and Ian. Gil was a graduate of Ashbury College, the Royal Military College of Canada, McGill University and Cambridge University. In 1961 he founded the Department of Geography at Bishop's University and was named Emeritus Professor of Geography in 1992. Gil was known as a passionate teacher to several generations of Bishop's students in whom he instilled a love of learning, intellectual curiosity and academic integrity. He was also an all-around athlete, an avid skier, an accomplished photographer, a scholar of international repute, an authority on Arctic whaling and exploration, an Eastern Townships historian, and a prolific author. Among his published works are: Three eastern townships mining villages since 1863 : Albert Mines, Capelton, and Eustis, Quebec; Arctic whalers, icy seas : narratives of the Davis Strait whale fishery; This distant and unsurveyed country : a woman's winter at Baffin Island, 1857-1858; Hunters on the track : William Penny and the search for Franklin.
Gil passed away on October 7, 2019, in Sherbrooke, Quebec.

Collectivité

Centenary United Church est établie à Stanstead en 1804. À l’époque, la congrégation fait partie d’un circuit de la New England Conference de l’Église méthodiste épiscopalienne qui comprend Stanstead, Hatley, Compton et Barnston. En septembre 1869, l’église est renommée Stanstead Wesleyan Methodist Church puis, en 1909, elle devient Centenary Methodist Church. En 1925, l’Église Unie du Canada est formée par l'union de congrégations des Églises presbytériennes, méthodistes et congrégationalistes. Centenary Methodist Church décide de se joindre à l’Union. Elle devient Centenary United Church. Depuis 1981 ou 1982, l’Église fait partie de la Charge pastorale United Steeples. L’Église unie Centenary relève du Consistoire de Québec-Sherbrooke du Synode Montréal et Ottawa de l’Église Unie du Canada. Les conseils suivants dirigent ses activités : Official Board (conseil de paroisse), Session (conseil des anciens), Board of Stewards (conseil presbytéral) et Board of Trustees (conseil de surveillance) en collaboration avec ses comités et organismes internes, tels les United Church Women (Comité des femmes de l’Église unie).

Plymouth-Trinity United Church est fondée en 1971 par le regroupement des églises Plymouth United Church et Trinity United Church. Plymouth-Trinity United Church est administrée conformément au Manuel de l’Église Unie du Canada. Toutefois, en 1975, elle adapte sa structure organisationnelle à ses besoins. Depuis ce temps, le Church Council (conseil de paroisse) et les quatre commissions suivantes, dont le rôle est consultatif et exécutif, voient à la gestion des affaires de l’Église : Worship and pastoral Oversight (surveillance du culte et de la pastorale), Finance and Stewardship (finances et intendance), Property and Maintenance (immeubles et entretien) et Education and Outreach (éducation et extension). Les commissions assument les responsabilités anciennement dévolues aux différents conseils de la paroisse : Board of Trustees (conseil de surveillance), Official Board (conseil de paroisse), Joint Board (conseil mixte), Session (conseil des anciens), Board of Stewards (conseil presbytéral), et Congregation (Congrégation). De plus, l’église forme des associations et des groupes pour les enfants, les femmes et les hommes. L’église unie Plymouth-Trinity relève du Consistoire Québec-Sherbrooke du Synode Montréal et Ottawa de l’Église Unie du Canada.

Collectivité · 1851-1923

La St. John's Presbyterian Church est créée en 1851 lors de l’arrivée de colons écossais dans le canton de Winslow. En 1876, la St. Luke's Presbyterian Church de Hampden, Whitton, devient indépendante de la St. John's Presbyterian Church de Winslow. En 1920, en raison d’un effectif réduit, la St. John's Presbyterian Church fusionne avec la charge pastorale de Hampden-Milan. Toutefois, des services religieux continuent d’être occasionnellement célébrés à la St. John's Presbyterian Church de Winslow jusqu’en 1923. La St. John's Presbyterian Church de Winslow était sous la juridiction du Consistoire de Québec, Synode du Québec et de l’est de l’Ontario, de l’Église presbytérienne au Canada. L’Église était gouvernée par la congrégation et les « cours » (conseil d’administration et conseil des Anciens) en collaboration avec les membres de ses comités, sociétés et organisations.

La Bethany Presbyterian Church est créée en 1917 à Milan à la suite d’une scission au sein de la congrégation de la St. Luke's Presbyterian Church de Hampden. Les deux Églises forment alors une congrégation, mais chacune possède son propre conseil d’administration jusqu’à la fermeture de la St. Luke's Presbyterian Church en 1944. En 1925, la Bethany Presbyterian Church ne se joint pas à l’Église Unie du Canada qui vient d’être formée et demeure presbytérienne. En 1975, la Bethany Presbyterian Church et la St. Andrew's Presbyterian Church de Lac-Mégantic fusionnent avec la St. Paul's Presbyterian Church de Scotstown, formant une congrégation avec trois centres de prédication distincts, un registre de communion et un conseil des Anciens communs et des conseils d’administration séparés. En 1980, les deux Églises sont entièrement fusionnées avec la St. Paul's Presbyterian Church de Scotstown. La Bethany Presbyterian Church était sous la juridiction du Consistoire de Québec, Synode du Québec et de l’est de l’Ontario, de l’Église presbytérienne au Canada. L’Église était gouvernée par la congrégation et les « cours » (conseil d’administration et conseil des Anciens) en collaboration avec les membres de ses comités, sociétés et organisations, comme la Carry-on Society et le Sunbeam Mission Band.

En 1946, les pasteurs et les paroissiens des églises Plymouth United et Trinity United s’unissent et fondent Sangster Memorial United Church à Sherbrooke. Les nombreux résidents du quartier ouest de Sherbrooke qui fréquentent ces deux églises unies demandent à avoir leur propre église. L’office religieux inaugural n’a toutefois lieu qu’en 1949. En 1966, suite au déclin du nombre de paroissiens, Sangster Memorial United Church est dissolue. Ses paroissiens retournent à Plymouth United Church ou à Trinity United Church. Pendant son existence, Sangster Memorial United Church est administrée conformément au Manuel de l’Église Unie du Canada. Ses conseils sont les suivants : Board of Trustees (conseil de surveillance), Official Board (conseil de paroisse), Session (conseil des anciens), Board of Stewards (conseil presbytéral), et Congregation (Congrégation). L’Église forme également des comités en fonctions des besoins de la congrégation. Les paroissiennes de Sangster Memorial United Church participent activement aux activités des United Church Women (Comité des femmes de l’Église Unie). Pendant son existence, Sangster Memorial United Church relevait du Consistoire Québec-Sherbrooke du Synode Montréal et Ottawa de l’Église Unie du Canada.

Fabrique Saint-Ambroise de Milan
CAMAR · Collectivité · 1914-2001

Le premier missionnaire à venir à Milan fut l'abbé Henri-Louis Nicole en 1911. Toutefois, ce n'est que le 11 septembre 1943 que la paroisse Saint-Ambroise fut érigée canoniquement. L'abbé Louis-Philippe Thériault en fut le premier curé, soit de 1940 à 1947. Cette paroisse est dissoute en 2001 et rattachée à sept autres paroisses pour former Saint-Joseph-des-Monts de La Patrie. Sources : informations puisées dans le guide des archives paroissiales de l'Archidiocèse de Sherbrooke et le Supplément à l'annuaire diocésain (2000).

Fabrique Sacé-Coeur de Beauvoir
CAMAR · Collectivité · 1945-1999

Le sanctuaire de Beauvoir est fondé en 1917 par l'abbé Joseph-Arthur Laporte qui y fait construire la première chapelle en pierres des champs. La Corporation Épiscopale de Sherbrooke en devient propriétaire en 1942. Elle y fait bâtir l'église et accueille les pères Assomptionnistes en 1948 pour prendre en charge le sanctuaire. La paroisse Sacré-Coeur de Beauvoir est érigée canoniquement par Mgr Cabana le 18 décembre 1953 suite à la division des paroisses Sainte-Praxède de Bromptonville et Notre-Dame-de-l'Assomption de Sherbrooke. Une partie du territoire de la paroisse Très-Saint-Sacrement de Sherbrooke y est également annexée en 1966. Les pères demeurent les gardiens du sanctuaire et un curé est nommé pour la paroisse. Pendant plusieurs années, de nombreux mariages furent célébrés dans ce site enchanteur. Malheureusement, la diminution de la pratique religieuse, le manque de prêtres dans le diocèse et le départ des pères Assomptionnistes aura amené Mgr Fortier à fermer la paroisse le 20 septembre 1995. Son territoire est alors réparti entres les paroisses Sainte-Praxède de Bromptonville, Saint-Philémon de Stoke, Notre-Dame-de-l'Assomption et Très-Saint-Sacrement de Sherbrooke. Toutefois, le sanctuaire de Beauvoir poursuit son oeuvre sous la responsabilité des pères Maristes. Source : fonds Fabrique Sacré-Coeur de Beauvoir.

CAMAR · Collectivité · 1953-2001

L'histoire de cette paroisse débuta le 4 juillet 1954. Mgr Georges Cabana, de passage à Nantes, en France, promit de faire construire une église à Asbestos, sous le vocable de Notre-Dame-de-Toutes-Joies. Cette nouvelle paroisse obtint son érection canonique le 22 avril 1955. Dès le 31 mai 1955, l'abbé Maurice Cloutier en fut nommé le premier desservant; il arriva à Saint-Isaac-Jogues d'Asbestos le 14 juillet 1955. Les premières messes furent célébrées au Pavillon de l'O.T.J., trois jours plus tard. À compter du 30 octobre 1955, on se transporta à l'école Notre-Dame-de-Toutes-Joies. L'église actuelle fut ouverte au culte, le 4 mai 1956. C'est le 10 septembre 1956 que l'abbé Cloutier devint officiellement curé de la paroisse; le 29 janvier 1957, il s'installa dans le presbytère récemment terminé. Le 1er octobre 1974, la paroisse hérita de 60 familles de Saint-Dominique-Savio, suite au décret de suppression de cette paroisse. Le 1er mai 1977, la paroisse reçut un premier stagiaire en pastorale : l'abbé Gilles Baril, baptisé en cette paroisse l'année de la fondation. Cette paroisse fut dissoute en 2001 et son territoire a été rattaché à Saint-Isaac-Jogues d'Asbestos.

CAMAR · Collectivité · 1913-2013

Les Rédemptoristes espéraient une fondation dans la ville de Sherbrooke. En 1910, des pourparlers s'engagent entre les pères et Mgr Paul LaRocque. Celui-ci offre la partie nord de la paroisse de la Cathédrale. Le 30 septembre 1910, les Rédemptoristes acquièrent le domaine de monsieur R. Webster. Le 15 mars 1911, Mgr LaRocque signe une convention avec les pères; le 16 juin 1911, Rome la ratifie. La paroisse sera baptisée Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours. Les travaux de construction de la première église débutent le 28 juin 1911, sous la surveillance du Père Pierre Girard, c.s.s.r., ancien supérieur du Séminaire de Sherbrooke. Le premier curé, le Père Clément Leclerc, c.s.s.r., arrive le 1er avril 1913 et célèbre la première messe dans la paroisse le 1er mai 1913. Le 5 octobre 1913, Mgr Pellegrino Francesco Stagni, délégué apostolique, bénit l'église. En 1935, on pense déjà à bâtir un temple plus spacieux. Le projet est finalement adopté en 1945. Le Père Léopold Saint-Amand, c.s.s.r., célèbre la messe dans l'église actuelle le 27 novembre 1948. C'est en 1987 que les Pères Rédemptoristes quittent Sherbrooke; la paroisse est alors cédée au clergé diocésain. Le presbytère est maintenant situé au 1331, rue Desgagné, nommée en l'honneur du Père Paul-Émile Desgagné, c.s.s.r., curé de 1956 à 1958.

CAMAR · Collectivité · 1890-2014

Le premier missionnaire à visiter Sawyerville, en 1834, fut l'abbé Jean-Baptiste McMahon. Les premiers catholiques s'y étaient par ailleurs établis dès 1823. En 1872, Mgr Charles LaRocque, évêque de Saint-Hyacinthe, érigea canoniquement les paroisses régulières sous sa juridiction; Saint-Camille de Cookshire, de qui dépendait la mission de Sawyerville, était parmi celles-là. Les fidèles de Sawyerville avaient demandé l'érection canonique le 16 septembre 1908. Ne retrouvant pas le décret à cet effet, Mgr Georges Cabana érigea canoniquement la paroisse le 13 janvier 1956 : l'établissement religieux était terminé depuis très longtemps. En effet, une première chapelle avait été bâtie en 1893 et un premier presbytère, en 1896. Une deuxième chapelle fut construite en 1907. En 1915, on décida de changer le site de l'église. L'église actuelle fut terminée en 1968 pendant le pastorat du curé Rosaire Bisson. Depuis 1976, le curé de Sawyerville dessert également les gens de Saint-Mathias. Durant son mandat, le curé Eugène Hudon fit améliorer la salle paroissiale avec l'aide de projets gouvernementaux; il donna un essor vigoureux à une pastorale post-conciliaire. Le 1er septembre 2014, Mgr Cyr a décrété la fermeture de la paroisse au moment où il a fondé une nouvelle paroisse qu'il a nommée Sainte-Marie-de-l'Incarnation de Cookshire-Eaton.

CAMAR · Collectivité · 1991-2019

L'Unité Notre-Dame fut créée en 1991. Elle se composait des paroisses suivantes: Saint-Thomas-d'Aquin de Compton, Notre-Dame-de-la-Paix de Johnville, Saint-Martin de Martinville et l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie de Waterville. La paroisse Sainte-Edwidge rejoignit l'Unité en 1998 et celle de Saint-Malo en 2003. Notre-Dame-de-l'Unité de Compton fut érigée canoniquement en paroisse en 2010. Sources : informations puisées dans le fonds d'archives de la paroisse et dans le Supplément à l'annuaire diocésain (2012).